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16 août 2007 4 16 /08 /août /2007 14:42
LA DEFENCE

La défense en boxe concerne un ensemble des comportements destinés à faire échec à l’offensive adverse. Se garantir contre les attaques adverses se présente comme un des trois objectifs principaux à atteindre dans les sports de combat de percussion* à côté d’attaquer les cible adverses et d’utiliser l’action adverse à son propre avantage. Elle se résume par un ensemble d’actions destiné à faire échec à l’offensive adverse, comprenant les blocages de coups, les déviations de coups, les esquives de coups, les déplacements (mobilité pour ne pas être atteint) et les actions de neutralisation.
On distingue plusieurs objectifs de défense :

  • La simple mise en sécurité de ses propres cibles, quelquefois réalisée en urgence (dite défense passive : couverture neutre, blocage neutre, etc.),
  • La réalisation d’actions destinées à utiliser l’activité adverse à son avantage (appelée par certains auteurs, défense active : le blocage déviant ou la « parade chassée » dans le but de déséquilibrer, le blocage absorbant, l’esquive (pour ces trois formes liés à des ripostes simultanées), puis le coup d’arrêt suivi également d’une riposte.
  • La mise en difficulté de réalisations offensives adverses (par le raccourcissement ou l’augmentation de la distance, par le verrouillage des armes adverses, par une déstabilisation à base de techniques de menace, de leurre, etc.).

Ces deux derniers objectifs nécessitent des qualités d’initiative, d’anticipation et d’à-propos. Pour dépasser un cliché qui dit "la meilleure défense, c'est l'attaque", on dira : Le but à atteindre serait d’être capable de défendre et de contre-attaquer (riposter) dans toutes les positions avec le moindre risque.

On distingue trois catégories de défense :

  • la défense dite « classique » ayant pour but d’annihiler l’action adverse (ex. : « couverture », parade bloquée, parade opposition...),
  • la défense dite « active » favorisant l’utilisation de l’action adverse (ex. : absorption de choc, coup d’arrêt, dégagement),
  • et la neutralisation ou activité d’anticipation ayant pour but d’empêcher le déclenchement de l’offensive adverse.

 

Attitude, garde et style 

L’attitude désigne deux notions principales. D'abord la façon de se tenir en situation d'opposition (Façon d’être positionné, de se tenir, de s’orienter, d’être protégé ou en garde, etc., dans le combat - posture, garde, positionnement...) et d'autre part, la façon de se comporter en terme de comportement d'opposition (style utilisé, stratégie globale employée...). Ex. : on recense différentes attitudes de combat en boxe : garde de trois-quarts de face, garde de profil, garde en « crouch », garde basse, garde le poids sur jambe avant, garde le poids sur jambe arrière, garde en appuis très écartés, etc. Quelquefois, la position du corps peut indiquer les intentions d’un combattant à l’égard de son adversaire. Ex. : une attitude de profil peut être le signe d’un travail d’esquive* et riposte* du bras avant ainsi que de contre.

Les anglophones parlent plutôt de « position » que de « garde » à proprement parler (ex : « sidestep » pour la garde latérale). La garde pour ces premiers c’est le haut du corps et également les appuis au sol, ainsi ils utilisent le terme « upright stance » pour une position verticale de buste et « full crouch » pour une attitude recroquevillée. Pour nous, on utilise l’expression d’attitude de combat lorsqu’on désigne l’ensemble. Donc lorsqu’on parle de « garde » dans l’école française, on pense souvent à la position des bras pour se protéger. Mais bien plus que cela, elle désigne une organisation corporelle permettant au combattant de se préparer à défendre et d’autre part à passer à l’offensive, cela dans une configuration qui lui offre un maximum de sécurité et d’efficacité. Différentes positions permettent de faire face à un adversaire avant et pendant l’engagement et sont appelées à défaut « garde ». Comme son nom l’indique, « être sur ses gardes » c’est se mettre en alerte permanente et adopter une position favorable pour réagir. De nombreuses attitudes de garde existent : garde trois-quarts de face, de profil, garde inversée, garde haute, garde basse, garde avancée, garde ramassée, etc. Certes, il très important « d’être gardé » (hermétique), mais il faut également adopter une attitude qui permettre d’agir et de réagir rapidement et avec efficacité (donc adopter une posture efficace). A contrario un boxeur n’adoptant pas d’attitude définie où ayant les bras « en bas » est dit « non gardé ». D’ailleurs, certains boxeurs font ce choix dans la perspective de construire leur jeu sur la base de contre-informations (tromperies).

Le style représente la manière de faire propre à chaque individu et que l’on peut rapporter à des classes de « comportement-type ». Elle est propre à son tempérament, à son potentiel physique ou à ce qui lui a été enseigné par son école de boxe. Ainsi, on distingue : l’attentiste du fonceur et le technicien (styliste) du frappeur, mais ce classement ne s’arrête pas là. On recense différents caractères variables pour chaque « typologie ». Par exemple, chez les styles « techniques » : boxer encoups longs, en coups d’arrêt, en coups de contre. Chez les styles « physiques » : faire le forcing, boxer en crochets puissants « à la godille », chercher le corps-à-corps ou chercher le coup dur. Lorsqu’un combattant utilise sa façon habituelle de boxer (son style habituel), on dit qu’il est sur son « registre » ; cela à la manière d’un musicien qui répète ses gammes préférées. D’autre part, ce qui est appréciable dans un combat c’est l’opposition de styles. On a pour exemple le combat des années 1980, Sugar Ray Leonard contre Marvin Hagler. Le premier, utilise une boxe à reculons, faite de larges pas de côté, d’esquives de buste et de contre-attaque précises. Alors que le second, use d’une boxe en progression avant, d’une attitude compacte le buste en avant et de coups très puissants. Voir aussi façonde combattre.


 

SOURCE WIKIPEDIA

 

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16 août 2007 4 16 /08 /août /2007 14:35
Techniques offensives 

Coups de poing usuels
  • Direct ou Straight-punch en anglais : coup de poing direct. Il est de forme, pistonnée, fouettée ou balancée-jetée. Nuances : le Jab est un direct à petite course, alors que le Lead est un direct à grande course et très lourd. On trouve également le direct court utilisé au corps à corps qui se rapproche d’un uppercut horizontal.
  • Crochet ou Hook (Hook-punch) en anglais : coup de poing circulaire (crocheté). Il existe d'autres formes de coups circulaires : le Swing (appelé également stick-punch) et le Half-swing.
  • Uppercut : coup de poing remontant (ou Rising Punch). Il est classé dans la catégorie des coups circulaires, ce qui n’est pas toujours le cas.
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16 août 2007 4 16 /08 /août /2007 13:59
Sen Muang Ma, ses deux fils Ki et Fang voulurent s'emparer du pouvoir. Comme leurs armées respectives n'arrivaient pas à se départager sur un champ de bataille, ils décidèrent de régler leur conflit par un duel. Chaque camp choisit son meilleur boxeur. Finalement, l'homme de Fang fut battu, et Ki monta sur le trône. La technique de combat de son « boxeur » fit école…

La légende raconte qu'en 1767, en pleine guerre birmano-thaïlandaise, Naï Khanom Tom, soldat et boxeur fut prisonnier du camp adverse et opposé à dix champions birmans qu'il mit KO. Devenu héros national, les Thaïlandais lui rendent hommage chaque année à l'occasion de la "Nuit des boxeurs".

Au XVIe siècle, le Muay Thai faisait partie de l'entraînement militaire. Il atteignit son plus haut degré de popularité au début du XVIIIe siècle, sous le règne de Pra Chao Sua, "le Roi Tigre". C'était le passe-temps favori de la population ; chaque village organisait des combats régulièrement. Le roi, qui était un boxeur de première force s'amusait à défier les champions locaux ! À l'époque les combattants protégeaient leurs poings en se bandant les mains avec du crin de cheval. Plus tard, le crin fut remplacé par des bandes de coton maintenues avec de la glu. On se servait de coquillages ou d'écorces d'arbres, comme coquille ! Parfois, avec l'accord des deux boxeurs, des morceaux de verre pouvaient être amalgamés dans la glue des bandages.

À cette époque, les combats se déroulaient sans catégories de poids ni de limite de temps.

Considérée comme dangereuse voir mortelle, la boxe thaïlandaise fut interdite en 1921. Puis, vers 1930, elle réapparut en adoptant les règles de compétition et les techniques de poings de la boxe anglaise (gants, ring, etc.). Le développement du tourisme en Thaïlande la fit découvrir aux Occidentaux. Elle est là-bas un enjeu social considérable pour la jeunesse. Les combats se déroulent selon un rituel fascinant. Les boxeurs, avant de combattre, se mettent à genoux et prient. Et tout le match se déroule sur un fond musical joué « en direct » par une petite formation de musiciens thaïs.

Le Muay Thaï est la plus ancienne des trois disciplines pieds-poings héritées des techniques asiatiques. Elle s'est d'abord répandue en Hollande puis est venue très vite en France concurrencer le full-contact dans sa version «garantie d'origine» et dans sa version japonaise, le kick-boxing.

Utilisant les quatre armes, le Muay Thaï est surtout un sport très complet. Il suppose une très grande vigilance car le coup peut venir de partout. Les saisies permettent au boxeur thaï de temporiser. Quant aux projections, elles n'apportent pas de points, elles sont seulement le moyen de sortir d'un corps à corps (indépendamment de leur impact psychologique).

Il a la réputation d'être la plus violente des quatre disciplines pieds-poings - opinion qui n'est pas partagée par les pratiquants eux-mêmes, qui pensent même le contraire. On lui reproche surtout de répandre l'idée que tous les coups sont permis. Roger Paschy, un des pionniers de ce sport en France en parle ainsi : « ...La boxe Thaï (Muay Thaï) ne peut être un sport que les gens qualifient à tort et à travers de sport de voyou. Il nécessite beaucoup de volonté et d'assiduité. Mais, comme dans toute activité sportive, le professeur a un rôle fondamental dans la formation de l'élève. L'état d'esprit de l'enseignant aura une influence considérable sur le disciple ».

Sport national et véritable industrie, le Muay Thaï fait vivre environ 200 000 personnes, boxeurs, entraîneurs, commerçant, etc.

Cette gigantesque affaire commerciale est géré par deux organisations composées de promoteurs, qui organisent des combats tous les jours. Le Lumpini, le stade le plus prestigieux et le plus typique est géré par l'armée, tandis que le Radjadammoen, plus moderne situé dans les quartiers chics de Bangkok, est sous la tutelle du gouvernement.

Le nombre de pratiquants est évalué à 100 000 et chaque semaine des centaines de combats ont lieu à travers le pays.

Muay thaï est un descendant de Muay Boran. Muay Boran a été divisé à Muay ThaSao (nord), Muay Korat thaï (Esarn ou au nord-est), Muay Lobburee thaï (région centrale), Muay Chaiya que thaï (sud) il y a une expression au sujet de Muay Boran thaï qui énonce, « poinçon Korat, esprit Lobburee, maintien Chaiya. » Emphazies de Muay Korat dans la force. Il y a un appel « poinçon de lancement de technique de buffle ». C'était appel comme ceci puisqu'il peut défaire le buffle dans un coup. Emphazies de Muay Lobburee dans les mouvements intelligents. Son point de force est le poinçon droit et tourné. Emphazies de Muay Chaiya dans le maintien, défendant. Il est difficile que l'adversaire attaque. Effort de Muay Chaiya dans les coudes et les genoux.


Son internationalisation 

En 1966, l'adepte de Kyokushinkai, Kenji Kurosaki, défia un boxeur thaïlandais et se fit battre lors du premier round par KO. À la suite de ce combat il séjourna en Thaïlande plusieurs mois, pour étudier le Muay Thaï. À son retour au Japon, il introduit le Muay Thaï sous le nom de kick-boxing. Des français combattent en kick-boxing (le boxeur français Guillaume, le karatéka Boutboul). En 1975 P. Brizon s'entraîne à Tokyo dans le club de Kurosaki, il combat les meilleurs japonais.

Il ouvre le premier club de Kick Boxing à Clermont-Ferrand. En 1980 Pud Pad Noy, reconnu comme l'un des dix meilleurs boxeurs Thaï de tous les temps, s'installe en France. Il y enseigne un Muay Thaï authentique. Depuis cette date le terme Kick Boxing est abandonné, il est remplacé par le Muay Thaï ou boxe thaïlandaise.


 


 

MERCI WIKPEDIA

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16 août 2007 4 16 /08 /août /2007 13:56

L'organisation sportive de la boxe thaï se subdivise en de nombreux sigles et fédérations, si bien que le règlement peut revêtir des formulations diverses. Les règles reproduites ici sont extraites de celui appliqué dans les stades Thaïlandais.


Ring 

Le ring, qui mesure entre 5 et 7 mètres de coté, doit être entouré de 3 rangés de cordes minimum. Le plancher sera doublé d'un matériau moelleux et élastique, de 4 cm d'épaisseur, et recouvert de toile.


Tenue vestimentaire des combattants

Le short de Muay Thai, avec l'inscription thailandaise signifiant Muay Thai

Les boxeurs se présenteront dans une tenue appropriée au combat, se composant d'un short et d'un suspensoir pour la coquille. Ils doivent combattre torse nu et pieds-nu, mais sont autorisés à porter des chevillières. Ils peuvent nouer un ruban autour d'un ou des deux biceps. La coiffure sacrée ( Mongkon ) est permise durant les phases préliminaires et rituelles, mais doit être retirée avant le début du combat.


Bandages et gants 

Les jointures seront protégées par une bande élastique de trois mètres, fixée avec du ruban adhésif. Les gants peuvent aller de la taille 6 à la taille 16.


Poids

Un médecin exécutera un contrôle physique général qui permettera au boxeur (ou a la boxeuse) de faire ses combats ou assauts. Les opérations de pesée s'effectuent en présence de l'adversaire et de ses assistants, et se déroulent au moins 4 heures avant la rencontre.


Round 

Les matchs officiels comptent 5 reprises de 3 minutes avec 2 minutes de repos entre chaque round en thailande et 1 minute 30 de repos en europe. Mais en France cela dépend de la classe dans la quelle le pratiquant (nak muay) évolue les "classes" vont D à A


Assistants 

Chaque combattant peut être accompagné de deux assistants.


Score 

Les points sont attribués selon des critères de :

  • Technique, précision, puissance et dommage engendré par chaque coups ( de poing, de pied, de coude, de genoux ) ;
  • Habileté défensive ;
  • Agressivité et habileté à l'attaque ;
    • égalité : 10 points à chacun des 2,
    • léger avantage : 10 points à 9,
    • avantage net : 10 points à 8,
    • avantage écrasant : 10 points à 7

Quand les boxeurs obtiennent le même nombre de points, la victoire revient à celui jugé le plus agressif.

L'arbitre est autorisé à retirer un point chaque fois que le combattant commet une faute.


Arbitres et Juges

La décision finale est du ressort d'un arbitre et de deux juges, qui remplissent leurs bulletins respectifs à la fin de chaque reprises, et qui se prononcent après le dernier round.


Irrégularités
  • Frapper l'adversaire quand il est à terre, lorsqu'il est en train de se relever ou bien après la fin du round.
  • tirer les cheveux.
  • mordre ou cracher.
  • frapper l'œil avec le pouce.
  • prendre appui sur les cordes.
  • combattre en se tenant à une corde.
  • éviter malicieusement les attaques de l'adversaire, en feignant par exemple de tomber, de glisser sous les cordes ou de se cacher derrière l'arbitre.
  • frapper intentionnellement les organes génitaux.
  • commettre n'importe quelle action incorrecte susceptible de blesser l'adversaire.

Un combattant qui commet une faute sans toute fois causer un handicap ou infliger une blessure a l'adversaire recevra un avertissement oral et sera pénalisé de 1 point.

Le combattant qui commet volontairement une irrégularité désavantageant ou blessant l'adversaire peut perdre le match pour faute ou être disqualifié par l'arbitre, sans préavis s'il réitère son attitude durant la rencontre.

En cas de faute involontaire empêchant la poursuite du combat, l'arbitre arrête la rencontre ; il attribuera donc la victoire par K-O technique au boxeur ayant obtenu le score le plus élevé, ou bien déclarera le match nul en cas d'égalité des points.

Un athlète peut se plaindre d'avoir subi une irrégularité au près de l'arbitre, qui prendra immédiatement une décision : s'il estime que la faute ne rentre pas dans le cadre de celles énumérées plus haut, le combattant continuera.


Décision

La victoire est proclamée :

  • aux points ;
  • par K-O : l'adversaire tombé à terre ne se relève pas dans les 10 secondes ;
  • par K-O technique : l'arbitre interrompt le combat parce qu'un athlète
    • n'est pas en état de continuer,
    • ne se présente pas après le son du gong,
    • est victime d'une blessure qui l'empêche de poursuivre le combat ;
  • par décision du médecin, suite à une blessure ;
  • par abandon : l'un des combattants déclare ne pas vouloir continuer le combat ;
  • par disqualification de l'adversaire pour faute grave ;
  • par décision des juges : le combat une fois terminé, les juges attribuent la victoire au boxeur ayant obtenu le score le plus élevé.


Victoire 
  • à l'unanimité : 3 votes favorables ;
  • à la majorité : 2 votes favorable et un contraire ;
  • match nul :
    • si telle est la décision de 2 juges sur 3,
    • si les avis des juges sont tous discordants ;
  • “No Contest” :
    • Si telle est la décision des juges sur demande du président, parce que les 2 athlètes combattent de manière incorrecte ou évitent l'affrontement.
    • Quand un combattant se retrouve au sol, l'arbitre ordonne à son adversaire d'aller dans le coin neutre, et commence immédiatement à compter de 1 à 10.
    • Si le boxeur qui a envoyé son adversaire à terre n'obéit pas, il arrête de compter, réitère son ordre et attend que ce dernier ait produit son effet pour reprendre le compte des secondes.
    • Si le boxeur tombé à terre pendant le compte ou bien avant d'être compté 8, le combattant pourra poursuivre.
    • Si le boxeur tombé à terre n'est pas en état de poursuivre le combat, il doit continuer de compter jusqu'à 10.
    • Si le boxeur tombé à terre se relève avant d'être compté 10, puit tombe de nouveau, il doit recommencer à compter les secondes.
    • Si les deux boxeurs tombent à terre :
      • Il commence à compter et ne s'arrête pas si l'un des deux se relève.
      • Il déclare le match nul si à 10, aucun des deux ne se relève.

La cloche ne sauve pas le boxeur tombé à terre du compte des secondes, sauf au dernier round.

À la fin du compte des secondes, le boxeur en état de poursuivre le combat sera déclaré vainqueur.


 

SOURCE WIKIPEDIA

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16 août 2007 4 16 /08 /août /2007 13:51

Les techniques

L'art du Muay Thaï passe par la maîtrise de l'ensemble de ces mouvements (le Muay Thaï est spécifique au mouvement du bassin / des hanches):


Techniques de pieds
  • Low-Kick : Coup de pied bas, circulaire, donné avec le tibia qui s'effectue sur la cuisse de son adversaire ou dans ses propres tibia. Il peut-être intérieur (entre-jambe) ou extérieur.
  • Middle-Kick : Coup de pied, circulaire, donné avec le tibia qui s'effectue sur les côtes flottantes de son adversaire ou dans les avant-bras.
  • High-Kick : Coup de pied haut, circulaire, donné avec le tarse, ou le cou de pied, ou avec le talon, qui s'effectue sur le visage de son adversaire.
  • Front-Kick : Coup de pied direct, donné avec le plat du pied qui s'effectue sur le buste de son adversaire.
  • retourné :coup de pied effectué en prenant l'élan d'une rotation, souvent effectué à la tête.


Techniques de poings 
  • Direct : Coup droit, donné avec le poing "avant" qui s'effectue sur le visage (ou dans le foie) de son adversaire.
  • Contre : Coup donné avec le poing "arrière" qui s'effectue sur le visage (ou dans le foie) de son adversaire.
  • Crochet : Coup de poing, demi-circulaire qui s'effectue sur le visage (ou dans le foie) de son adversaire.
  • Uppercut : Coup de poing, donné de bas en haut qui s'effectue sous le menton (ou dans le foie) de son adversaire.(partenaire)


Technique de genoux
  • Action qui consiste à porter un coup à l'aide du genou, à son adversaire. Outre les coups de genoux lors du combat, son intervention est primordiale dans le contexte d'un corps à corps. Il est cependant interdit d'agripper l'adversaire pour l'amener au genou, c'est toujours le genou qui doit aller à l'adversaire (principalement pour les coups à la tête).


Technique de coude 

Il en existe une quinzaine ; direct, sauté, retourné, circulaire, plongeant, remontant, ... Action qui consiste à porter un coup à l'aide du coude, à son adversaire.


Technique de corps à corps 

Lutte de très près, qui consiste à être directement en prise avec l'adversaire. On peut employer le corps à corps pour soit se reposer un peu en collant l'autre boxeur, ou soit au contraire le fatiguer en effectuant des coups de genoux dans les côtes.


Technique de projection et de fauchage
  • Projection : Action qui consiste à projeter le corps de son adversaire afin de sortir d'un corps à corps (sans passage de hanche).
  • Fauchage : Action qui consiste à renverser par un coup de pied bas, circulaire, son adversaire.


Technique de blocage et de saisie 
  • Blocage : Action qui consiste à empêcher qu'un coup atteigne son point visé. Blocage avec mains ou avec tibia.
  • Saisie : Action qui consiste à prendre un coup avec la ou les mains, d'un mouvement rapide pour le tenir et ainsi le contre-attaquer.


Technique d'esquive 

Mouvement du corps pour éviter adroitement un coup.

Exemple : pour éviter un low-kick ou un middle-kick, retirez le pied puis attaquez en basculant la hanche et la jambe vers l'extérieur; ensuite ré-enchaînez sur un middle-kick ou low-kick.


 

SOURCE WIKIPEDIA

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